Certaines de nos essences forestières indigènes souffrent, voire périssent de stress hydrique.
J’attends cette loi sur le CO2 depuis 30 ans et suis toujours en attente de la mise en oeuvre du principe économique d’internalisation des coûts environnementaux externes de nos activités humaines… Nos forêts changent plus vite que leur cycle naturel. Certaines de nos essences forestières indigènes souffrent, voire périssent de stress hydrique. Les forestiers sont sommés de pratiquer une sylviculture adaptative aux changements climatiques; ils luttent contre les ravageurs qui prolifèrent dans un climat déréglé qui leur est propice. Les glissements de terrain se multiplient. Seuls nos comportements semblent ne pas vouloir prendre la mesure de la rapidité et de l’ampleur de ces changements.