Je vois comme notre petit glacier perd un peu plus de sa substance chaque année et que l'approvisionnement en eau de la cabane est remis en question dès la fin de la fonte des neiges.

Comme les températures montent ici aussi, cela posera des problèmes environnementaux considérables tels que des inondations, des chutes de pierres et des glissements de terrain.

Je souhaite que nous puissions préserver notre terre avec un mode de vie plus durable pour les générations futures et qu'il ne soit pas déjà trop tard pour cette perspicacité !

La loi sur le CO2 aidera les régions de montagne à atténuer les dommages climatiques.

L’agriculture, l’exploitation forestière et le tourisme sont affectés directement par le réchauffement climatique, tout comme la biodiversité.

Nous devons agir maintenant pour éviter de compromettre définitivement les ressources de la planète.

La loi sur le CO2 fournit à la Suisse les instruments nécessaires pour mettre en oeuvre l'accord de Paris ratifié en 2017.

La révision de la loi a un fort effet incitatif.

La loi sur le CO2 est une étape importante vers la sauvegarde de notre base existentielle.

Voulons-nous vraiment conserver nos boules de neige dans un congélateur pour les montrer aux prochaines générations ?

En tant que conseiller municipal, je m'inquiète de voir qu'en été, nous devons de plus en plus amener de l'eau par hélicoptère jusqu'aux alpages.

Les impacts négatifs du réchauffement climatique influencent fortement aussi notre espace vital.

J'aime découvrir le monde alpin local et souhaite que les générations futures puissent en profiter elles aussi.

Nous devons agir maintenant, dans notre intérêt et dans celui de l'humanité, et pour l'avenir de notre belle planète.

J'ai grandi à Arth-Goldau. J'ai vraiment pris conscience de la force de la nature dans les Alpes avec l'écroulement mémorable de 2005.

Les combustibles fossiles étaient une condition préalable à la prospérité de l'ensemble de la population. Aujourd'hui, nous en connaissons les effets négatifs. C'est pourquoi, nous devons laisser cette époque derrière nous. Avec un OUI à la loi sur le CO2, nous faisons un pas important dans la bonne direction.

En termes de protection des Alpes, plus tard ne doit pas exister. C'est maintenant que nous devons agir ! La loi sur le CO2 est un pas important dans la bonne direction.

J'écoute ce que me dictent ma raison et ma conscience et je soutiens la loi sur le CO2.

La loi sur le CO2 est une nécessité urgente et contribue à sensibiliser la population.

Certaines de nos essences forestières indigènes souffrent, voire périssent de stress hydrique.

La loi sur le CO2 promeut les énergies renouvelables.

La nouvelle loi sur le CO2 crée un fonds pour le climat à partir duquel seront financées les mesures d'adaptation, par exemple dans la sylviculture et l'agriculture, mais aussi celles pour la protection contre les risques naturels.

Il est urgent de dire oui à la loi sur le CO2 !

Avec des mesures telles que le fonds pour le climat, la loi sur le CO2 contribue à une plus grande justice climatique - également entre la montagne et les vallées.

Si nous ne prenons pas des mesures aujourd’hui, nous allons être confrontés à une crise climatique majeure.

La Suisse est un pays riche et doit remplir son rôle pour freiner la hausse des températures qui est responsable de la crise climatique mondiale. Cessons d’être égoïste et pensons ensemble à l'avenir des prochaines générations.

Le risque climatique pour les êtres humains et la nature doit être désamorcé DÈS À PRÉSENT pour les générations futures.

La chaleur de l'été 2003 m'a montré comment les choses pourraient se passer à l'avenir si nous ne faisons rien pour lutter contre le réchauffement de la planète.

Le climat est fiévreux et les glaciers pleurent.

En tant que politicienne, je veux protéger le climat et agir rapidement.

Si nous ne nous mettons pas au travail maintenant, nous ne pourrons plus compenser les conséquences du changement climatique.

Il est donc temps d'agir, de faire preuve de solidarité entre régions en apportant le soutien nécessaire au maintient de la sécurité et de la qualité de vie dans les régions de montagne.

Si nous ne saisissons pas cette occasion, nous subirons des dommages irréparables dont les conséquences devront être supportées par nos enfants et nos petits-enfants.

Ce sont surtout les Alpes qui sont touchées par le réchauffement climatique. C'est donc dans notre intérêt à tous de nous engager à présent en faveur d'une politique climatique ambitieuse.

J'habite depuis toujours dans l'Oberland bernois et j'observe chaque jour des changements dans l'espace alpin provoqués par le réchauffement climatique.

Le réchauffement climatique a déjà commencé à nous impacté la menace pèse vraiment, ici, dans les Alpes !

Pour que notre descendance ait elle aussi la chance de pouvoir s'épanouir, nous devons lutter contre la destruction systématique de notre base vitale de manière conséquente.

Je souhaite vivement que ma fille puisse elle aussi découvrir les montagnes et les glaciers.

Aujourd'hui, il ne reste là-haut qu'un désert de pierres car en juillet déjà toute la neige a fondu et la rivière est presque tarie.

Même si notre pays est petit, nous devons montrer le bon exemple aux autres pays.

En disant OUI à la loi sur le CO2, nous faisons un premier petit pas vers un environnement vivable que nous laisserons à la prochaine génération.

La forêt de protection de Glaris est détruite pas le réchauffement climatique. Les campagnes de plantation d'arbres ne sauvent pas le climat - nous avons besoin de mesures juridiquement ancrées pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

La protection du climat est essentielle pour nous tous-tes. La loi sur le CO2 permet également d'accélérer les mesures prises dans notre pays, qu'il s'agisse de mesures pour la préservation des hauts marais, de réduction des émissions de CO2 des usines d'incinération des déchets ou des améliorations dans les infrastructures pour le trafic piéton et cycliste.

Au cours de ces seize dernières années, notre village a été touché par trois catastrophes naturelles en lien avec le changement climatique.

En raison du retrait des glaciers, les chemins doivent continuellement être adpatés et nous devrons probablement abandonner des cabanes sur le long terme.

Nous ne pouvons plus attendre pour réduire notre mobilité et transférer le trafic.

Beaucoup d'alpages devront être abandonnés si l'eau disparaît. Cette tendance est réelle et confirmée par de nombreux exploitants d'alpages.

Avec un oui fort à la loi sur le CO2 le 13 juin, nous faisons un pas important vers la justice climatique et montrons au lobby pétrolier que nous ne nous laisserons pas instrumentaliser.